Cérelles
Le nom de cette commune, située au nord de Tours, apparaît pour la première fois en 943, dans une charte de l’archevêque de Tours Théotolon, sous la forme Cersilla Villa ou « domaine de Cercilla ».
Histoire
La Grosse-Pierre, haute de 1,50 mètre, se dresse près de Roiville (voir ci-après). Selon Louis Bousrez*, il s’agit des vestiges néolithiques d’un menhir ou d’un dolmen en ruines mais selon Louis Dubreuil-Chambardel* c’est une pierre en situation naturelle.
Selon Jean-Claude Marquet*, un site néolithique se situe à Baigneux (au sud-ouest du bourg, près de l’autoroute A 28), où 28 trous de poteaux, prouvant l’existence d’un bâtiment, ont été découverts ; on y a également trouvé 40 outils, dont des grattoirs, des lames, des percuteurs, des nucléus ainsi que 954 tessons de céramique, dont un fragment de vase.
Outre le nom de la commune, qui suppose l’existence d’un domaine gallo-romain, d’autres domaines se trouvaient sans doute à Flanray (au sud-est du bourg), venant de Flaneriacus ou « domaine de Flanerius » ainsi qu’à Roiville (au sud-est du bourg) venant de Rito Villa ou « domaine du gué » ; (voir ci-après).
La voie gallo-romaine qui allait de Tournon Saint-Pierre au Mans franchissait probablement la Choisille, au gué de Roiville (Rito Villa) (du gaulois ritum signifiant gué), à Langennerie, hameau à cheval sur Chanceaux-sur-Choisille et Cerelles, en passant ensuite à Flanray (Flaneriacus).
La charte de Théotolon indique que le fief de Cerelles fut donné à l'abbaye Saint-Julien de Tours mais il existait d’autres fiefs, comme celui de Châtenay, de Baudry ou de La Bédouère (voir ci-après)
Au moment de la rédaction des cahiers de doléances, en 1789, Cerelles comptait 93 foyers et 303 habitants « sauf les enfants et les domestiques » ce qui correspond à environ 500 habitants. La commune ne semble pas pauvre. D'après une enquête nationale de mendicité lancée par la Constituante en 1790, on n'y trouve pas de mendiants, même si 20 personnes ont besoin d'assistance (3 vieillards hors d'état de travailler, 3 infirmes, 10 enfants de moins de 14 ans hors d'état de gagner leur vie).
La Garde nationale est organisée à partir de 1795. Chevaux, foin, paille, avoine, véhicules sont réquisitionnés à plusieurs reprises pour l'armée révolutionnaire. Un arbre de la Liberté est planté sur la place près de l'église et des fêtes de la souveraineté du peuple y sont célébrées en mars 1798 et 1799. En 1801, un premier Conseil général de la commune est mis en place avec Jean Millet comme maire. En 1804, au début de l'Empire, le préfet ne reconduit pas Jean Millet dans ses fonctions et nomme Pierre Georges Houssard, un gros propriétaire terrien, qui sera reconduit sous tous les régimes suivants jusqu'à sa mort, en 1849. Son fils, Georges François Houssard (né en 1814) sera président du Conseil Général d’Indre-et-Loire en 1871.
Pendant la Première guerre mondiale, vingt Cerellois meurent sur les champs de bataille, soit presque l'équivalent du nombre de garçons nés en cinq ans à l'époque. En 1921, le monument aux morts est inauguré. On y inscrira huit nouveaux noms après la Seconde guerre mondiale.
À voir dans le bourg
L’église Saint-Pierre : Les parties les plus anciennes des murs de l’église sont sans doute des vestiges de l’église primitive du 10ème siècle, notamment le mur nord en petit appareil, avec la trace de fenêtres en plein cintre qui ont été obturées plus tard. Le chœur a été édifié au 16ème siècle par Guillaume Bohier, seigneur de Baudry (voir ci-après).
On peut y voir un bénitier en marbre rose rapporté de Crimée par le général André Reille, propriétaire du château de Baudry (voir ci-après). L’église a été restaurée au 19ème par l’architecte Gustave Guérin. La municipalité a doté son fronton d’une horloge. Une sacristie a été accolée au mur nord. Lors de l’élargissement de la route de Saint-Antoine du Rocher à Cerelles, l’ancien cimetière situé à côté de l’église a été supprimé. Après la guerre 1914-1918, la municipalité a utilisé cet espace pour ériger le monument aux morts.
La grand’maison, construite au 17ème siècle dans un style classique, abrite aujourd’hui la mairie. À côté, se trouve un ancien puits, connu sous le nom de Puits-Chapelle.
Au nord-est du bourg, rue du Gué-Bolin, un lavoir a été installé en 1907.
À voir au nord
Le Moulin-aux-clercs, rue du Moulin-aux-Clercs, est un ancien moulin banal, sur la Choisille de Beaumont, cité dès 1221. Il figure sur la carte de Cassini* sous le nom de moulin Mauclerc et fut vendu comme bien national lors de la Révolution. Remanié au 19ème siècle, il possède encore une partie de son mécanisme, une roue à augets visible sous la construction, de l'intérieur et de l'extérieur, par la sortie voutée du canal rejoignant le bief. Aujourd’hui restauré, il est devenu une habitation privée. Deux autres moulins sont devenus des maisons d'habitation : le moulin de Renouard (voir ci-après) et le moulin de la Gravelle.
Près de la rue du Moulin-aux-Clercs, La Pilonnière est une grande maison bourgeoise, qui possédait deux métairies.
Plus au nord, Le Tertre présente sur sa façade ouest des vestiges de fenêtres du 15ème siècle ; il reste aussi, dans la propriété, une chapelle, avec une très belle charpente, qui en 1787 appartenait à Nicolas Baillardeau (1761/1812), marchand de bois à Tours.
Encore plus au nord, La Roderie, appartenait, en 1423, à Renée Sibourg, également dame de la Barrurie à Saunay, veuve de Bonaventure de Vaulx. Le fief fut ensuite la propriété de la famille de Vaulx, parmi laquelle on peut citer François de Vaulx, maire de Tours en 1610/1611. À cette époque, il y avait une chapelle. Le 27 février 1927, une tempête y fit de gros dégâts et détruisit, entre autres, les écuries.
Châtenay (nord-est) : au 15ème siècle, un manoir remplaça un premier logis, possédé dès le 10ème siècle par l’abbaye Saint-Julien de Tours.
Lorsqu’il fut vendu comme bien national en 1791, le fief est ainsi décrit : « Le lieu et métairie est composé de cinq corps de bâtiments : le premier de deux chambres au rez-de-chaussée, corridor entre deux, deux chambres à l'étage avec grenier dessus, le second avec chambre à cheminée servant à loger le fermier avec trois écuries, le troisième une boulangerie avec deux écuries et toit à porcs, le quatrième une grange et le cinquième une autre grange servant autrefois à serrer les dîmes, le tout disposé autour d'une cour fermée par un portail. ». Ce portail était encore en place en 1827.
En 1791, le domaine fut acquis par Charles Boisquet (mort en 1820), notaire à Tours de 1775 à 1819, et en 1827, sa fille, Alexandrine Boisquet, épouse d'Henry Magaud, receveur des contributions indirectes à Saint-Brieuc, le vend à François Pineau-Boissay, demeurant au lieu de la Planche à Chanceaux-sur-Choisille. La propriétaire actuelle est une de ses descendantes, de la quatrième génération.
La Chesnaye (nord-est) : le premier propriétaire connu, Robert Luce, huissier au Châtelet à Paris de 1739 à 1759, agrandit et améliore la propriété, qu’il vend ensuite à Sylvain Pradeau (mort en :1783), riche marchand de Tours. En 1786, sa veuve vend le domaine à Jean-Joseph Algrain (ou Allegrain), bourgeois, propriétaire à Saint-Cyr-sur-Loire. À partir de 1812, la propriété appartient à Madame Gertrude Roger, qui y vit avec son second époux, Joseph Perrusset, capitaine dans la Grande Armée, jusqu'en 1849, année où Jean François de Martel (1814/1891), inspecteur des domaines à Tours, achète le domaine qu’il agrandit en ajoutant un étage au logis principal et en transformant le jardin d'agrément ainsi que le potage. Son fils aîné Pierre Achille de Martel (1845/1892) en hérite mais sa mort prématurée oblige sa veuve à vendre la propriété en 1895.
En 1919, Alexis Lièvre, courtier en assurances demeurant à Paris, acquiert le domaine et poursuit l'embellissement du château. Il fait appel au meilleur architecte-décorateur tourangeau du moment : Maurice Boille (1883/1966), qui rénove la décoration intérieure, supprime la balustrade du perron en mauvais état pour l'ouvrir sur un jardin à la française, ajoute une aile droite, surélève la tour gauche qui abrite un château d'eau alimenté par un bélier construit au moulin de Renouard (voir ci-dessus).
Au nord-est, se trouvent aussi les jardins privés de La Boulas. Ces jardins poético-botaniques, ont été créés en 2005 par un couple de Cerellois retraités, monsieur et madame Talbert. Jacqueline Talbert est une collectionneuse de plantes passionnée, efficacement secondée par son époux. 1 600 variétés sont plantées actuellement sur cet ancien pré à vaches argileux. Le préalable indispensable a été d’enlever une couche d’argile et de la remplacer par de la bonne terre.
Le jardin conjugue art et science avec brio. Chaque plante est discrètement étiquetée après que sa place ait été choisie avec soin dans une composition générale faite d’une succession de « coins à thème » que quelques allées, deux mares végétalisées et des espaces gazonnés structurent et aèrent.
Certaines plantes sont très rares : chèvrefeuille crocodile, citronnier, grenadier… D’autres se déclinent en plusieurs variétés : pas moins de quinze pour le saule. Toutes prospèrent, bien qu’aucun engrais ni désherbant ne soit utilisé.
À voir à l’est
Baudry : Des vestiges d'une maison fortifiée du 13ème siècle sont encore visibles dans les soubassements du château. Le fief est alors propriété de l'abbaye de Saint-Julien, qui le vend à Guillaume Juton, cité en 1225 et 1294.
A 16ème siècle, le fief appartient à Marie d’Alès, citée en 1529, fille de François d’Alès, médecin de Louis XII et de François 1er, et à son époux, Guillaume Bohier, fils de Thomas, maire de Tours en 1536, 1549 et 1553, puis à leur fils, Claude Bohier, qui reconstruisent et agrandissent le logis.
En 1585, le propriétaire suivant, César Forget, Trésorier de France (voir Généralité*) à Tours, obtient du roi Henri III l'autorisation de faire clore « sa maison de Baudry en Serelles » de fossés, tourelles et pont-levis. On lui doit sans doute les deux petites tours carrées de la façade nord. Ce dernier, qui fut aussi, de 1592 à 1594, maire de Tours, où il accueillit Henri IV, n’eut pas d’enfant et ses héritiers, ne pouvant assumer les charges du domaine, le vendirent en 1633 à Jean Taschereau, bourgeois et échevin de Tours, marchand en gros de drap et de soie, qui agrandit le château en préservant une partie du château renaissance.
Le domaine appartint ensuite au fils de Jean Taschereau, Gabriel Taschereau, maître d’hôtel de Louis XIV puis au fils de ce dernier, Jean François Taschereau de Baudry (1645/1694), maire de Tours de 1678 à 1682, à qui on attribue la création du parc à la française vers 1685, puis au fils de Jean François, le célèbre et riche Gabriel Taschereau de Baudry (1673/1755), connu sous le nom de Monsieur de Baudry, lieutenant général de police de Paris de 1720 à 1722, membre du Conseil des Finances du régent Philippe d’Orléans (voir Bléré).
Le domaine passe ensuite à la fille de Gabriel, Marie Angélique Françoise (1712/1786), épouse de Nicolas Charles Malon de Bercy (1708/1790). Leur petite-fille Alexandrine Charlotte Marie Malon de Bercy (1781/1808), épouse d'Aymard François Marie Chrétien de Nicolaï (1777/1839), chambellan de Napoléon, hérite du domaine, qui, en 1825, est vendu à François Victor Masséna (1799/1863), fils du maréchal André Masséna (1758/1817).
En 1828, ce dernier vend le domaine à son beau-frère, le futur maréchal Honoré Charles Reille (1775/1860), époux de Victoire Thècle Masséna (1794/1857), fille d’André. La terre de Baudry couvre alors 580 hectares, dont 425 boisés, et comprend le château avec cour d'honneur, maison de régisseur, logement de garde, terrasses, potagers, parterres, pièces d'eau, étang, plusieurs fermes ; on peut aussi y voir un pigeonnier rectangulaire, du 17ème siècle, avec un lanternon carré ainsi qu’un lavoir de la même époque, considéré comme le plus ancien de Touraine
De 1850 à 1853, selon les plans de l’architecte Auguste Pellechet (1789/1871), il remet le château en état, fait démolir l'aile ouest qui menace ruine et restaurer les façades sud et nord. Son fils aîné, le général André Reille (1815-1887), ajoute de belles grilles de fer à la cour d'honneur timbrées à ses initiales : AR, et remodèle en partie le parc. Son neveu, le polytechnicien Victor Reille (1851-1917), petit-fils d’Honoré Charles, fondateur du rallye Baudry, héritier du domaine, cherche à redonner à la propriété son ancien prestige avec l'architecte Henri Paul Nénot (1853/1934) et le paysagiste Édouard André (1840/1911) : l'aile orientale du château est complètement reconstruite, une tour cylindrique est ajoutée dans l'angle rentrant de la cour, les terrasses sud et nord sont refaites et beaucoup de baies sont transformées en porte-fenêtre ; l'objectif sera parfaitement atteint puisqu'il amènera l’écrivain Jacques Marie Rougé* (1873/1956) à qualifier Baudry de « Versailles de la Touraine du Nord ».
La propriété est reprise par le fils de Victor, le peintre animalier Karl Reille (1886/1975), puis par le fils de ce dernier, l’ornithologue Antoine Reille (né en 1942), normalien, agrégé de physique, maire de Nouzilly de 2008 à 2014.
À voir au sud
La Bédouère : ce toponyme vient de bibitoria signifiant abreuvoir ou « endroit de la rivière où les animaux vont boire ».
Au 15ème siècle, le fief appartenait à la famille Marques, dont les membres les plus connus à cette époque furent Jean II Marques, qui fit reconstruire le château de Chenonceau en 1432 et Pierre Marques, qui fut abbé de Marmoutier de 1427 à sa mort en 1453.
C'était alors une maison fortifiée avec dépendances formant un hexagone irrégulier, complètement entourée de fossés et flanquée de six tours. Deux d'entre elles sont encore visibles aujourd'hui, ainsi que la trace des douves, un petit châtelet d'entrée fortifié et l'arcature plein-cintre du porche donnant sur la cour intérieure.
Au 16ème siècle, la famille Piballeau possédait le domaine. Le protestant Marin Piballeau participa à la prise de Tours en 1562, pilla le couvent des Minimes de Plessis-lès-Tours et en tua un moine, ce qui lui valut d’être pendu avec 27 de ses proches lorsque les troupes royales reprirent la ville.
Sa fille, Marie Piballeau épousa en 1575 Justinien de Chambergeon et leur fille Jeanne de Chambergeon fut l’épouse de Claude Cottereau (mort en 1615), Trésorier général (voir Généralité*) et maire de Tours en 1590/91). Leur fils, César Cottereau (1587/1654) fut lui aussi maire de Tours de 1627 à 1629) et sa fille Magdeleine Cottereau (née vers 1620) épousa en 1644 Gabriel Taschereau, seigneur de Baudry (voir ci-dessus).
Un autre fils de Claude Cottereau, Dominique Cottereau, conseiller au parlement de Bretagne, fut aussi seigneur de la Bédouère ; sa fille Françoise Cottereau épousa en 1645 Louis Le Peultre (mort en 1650) et le domaine passa ensuite à leur fils Louis François Le Peultre, cité en 1696, puis au fils de celui-ci, Louis II Le Peultre, cité en 1716 et enfin à Louis III Le Peultre (né en 1721), sur qui le domaine fut saisi en 1777.
Marie Angélique Françoise Taschereau de Bercy, dame de Baudry (voir ci-dessus) achète alors le domaine, qui passe ensuite à sa petite-fille Alexandrine Charlotte Marie Malon de Bercy et à son époux Aymard François Marie Chrétien de Nicolaï, qui le vend en 1824.
Depuis longtemps, la maison de maître n'est plus habitée et tombe en ruines. L’historien André Montoux* cite l'acte de 1824 qui parle de bâtiments « qui étaient autrefois les remises et écuries du château qui a été démoli ». Ces bâtiments sont vendus le 12 mars 1829 à Louis Bordier, cultivateur, qui les revend le 30 mai suivant avec bénéfice à François-Martial Couturier, notaire honoraire à Tours, époux de Louise Archambault de Beaune, elle-même d'une famille de notaires tourangeaux. Ils achètent également le moulin de Renouard (voir ci-dessus) et restaurent les deux bâtiments. Quand ils revendent la Bédouère à Eugène Flandin en 1848, la maison de maître est décrite comme « composée d'un bâtiment, d'un rez-de-chaussée avec cinq chambres en mansarde. » Elle n'est pas au centre de l'enceinte fortifiée comme l'ancien château mais en prolongement de la ferme.
Eugène Flandrin (1809/1889), peintre orientaliste renommé, fut maire de Cerelles de 1850 à 1866. On lui attribue l'élévation d'un étage et l'adjonction d'un pavillon à l'aspect de donjon à l'extrémité nord qui font de la maison de maître un château. Ces transformations pourraient avoir été réalisées par l’architecte Jean Charles Jacquemin-Belisle (1814/1869), architecte de la ville de Tours, connu pour les nombreux châteaux qu'il édifia en Indre-et-Loire sous le Second Empire. Eugène Flandrin revend le domaine en 1863 à Gabriel Marie Brunet de Montreuil (1817/1887) qui garde la Bédouère cinq ans puis la vend au baron Georges François Marie t'Kint de Roodenbeke (1821/1897), époux de Louise Constance Emmanuelle Irmine de Bissy (1833/1887).
En 1875, le château est vendu au polytechnicien Ernest Amable Orsel (1828/1911), inspecteur général des mines, qui fut maire de Cerelles de 1891 à sa mort et qui est enterré à Cerelles avec son épouse, Louise Eugénie Levêque de Vilmorin (1829-1914), fille de Philippe André Levêque de Vilmorin (1776/1862), créateur en 1821 le l’arboretum des Barres à Nogent-en-Vernisson (Loiret). Leur fille, Louise Pauline Gabrielle Orsel (1863/1944) épouse en 1891 le général de division Georges Victor Dantant (1856/1925).
En 1988, le comte Joseph de Mauléon de Bruyères (mort en 1991) achète la propriété, qu’il restaure avec son fils, Edmond Ernest de Mauléon de Bruyères avant que ce dernier ne fasse de la Bédouère un parc animalier privé et un lieu de convivialité.
Au sud du bourg, se trouve L’Héreau, où le sculpteur Olivier Seguin, né en 1927, qui fut directeur de l’école des beaux-arts de Tours, a installé un parc de sculptures.
Au sud-est, le château de Roiville, reconstruit au 19ème siècle, a aussi appartenu au peintre Eugène Flandrin.
Au sud-est également, le hameau de Flandray possède un lavoir privé datant de 1911.