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Noizay


Le nom de cette commune, située sur les rives droites de la Cisse et de la Loire, entre Nazelles-Négron et Vernou-sur-Brenne, au nord-est de Tours, apparaît en 886 dans un diplôme de Charles III le Gros (839/888) sous la forme Nogarentum, venant du gallo-romain Nucaretu signifiant « lieu planté de noyers ».

Histoire

Préhistoire et antiquité :

Le toponyme La Grosse Pierre, au nord-est du bourg, indique sans doute la présence à cet endroit d’un mégalithe disparu.

Selon le DCT*, des silex polis du néolithique ont été trouvés immédiatement au nord du bourg, en particulier 2 haches d’importation.

Ce dictionnaire indique par ailleurs qu’une occupation gauloise, datée par la céramique, a été découverte en 1976 à La Dégaudière, au sud de bourg, en dessous de la D 1 (route de Nazelles) et que des tuiles, de la céramique, des monnaies et des outils ainsi que des vestiges de murs et de dallage auraient été vus vers 1900 aux Hauts Bois (près des Champs Rouget, au nord-est du bourg, à la limite avec Nazelles-Négron.)

L’abbé Jean Jacques Bourassé* (1813/1872), dans le premier numéro des Mémoires de la Société Archéologique de Touraine (MSAT 1. 1842 pages 196/209) rend compte d’une Promenade archéologique à Chançay, Reugny, Noizay et Vernou : à propos de Noizay il indique qu’il est possible qu’il y aurait eu un temple gallo-romain dédié à la déesse de la Paix dans le Bois de l’Olive (non loin de la Grosse Pierre, au nord-est du bourg) ainsi qu’un établissement gallo-romain aux Encloîtres mais il précise que ce ne sont que des hypothèses et qu’il n’a rien trouvé dans ces deux endroits !

Denis Jeanson (voir http://www.denisjeanson.fr/site_toponymie/lettre_e/lieux_eard/eche.html) indique qu’il existe à Noizay une parcelle cadastrale nommée Les Éclouetres et appelée Les Encloîtres au 18ème siècle ; cette parcelle se trouve au sud du Bois de l’Olive.

Dans les toponymes Monaville et Villetissard (voir ci-après), on retrouve le terme gallo-romain villa*, ce qui indique l’existence possible de domaines agricoles gallo-romains dans ces lieux.

La voie gallo-romaine « dont on voit encore des restes » écrit Carré de Busserolles* dans son Dictionnaire (tome 4), qui suivait la rive droite de la Loire traversait la commune actuelle, venant de Nazelles-Négron et se dirigeant vers Vernou-sur-Brenne. Il est possible qu’elle soit reprise par une série de rues situées un peu au-dessus de la D1.

Histoire du fief de Noizay :

Le premier seigneur de ce fief, cité en 1223 ; est un certain Guillaume de Noizay, qui apparaît plusieurs fois dans le Cartulaire de l’archevêché de Tours.

Parmi les nombreux propriétaires suivants, on peut noter, en 1335, Pierre de Vernou, prévôt de Vernou (Vernou-sur-Brenne), propriétaire du Bois-Dion (voir ci-après), en 1469, Gonzalve d’Ars (1395/1469), d’origine espagnole, naturalisé et anobli en 1451, capitaine de Bléré en 1460, puis, en 1529 Georges de Vercle, maire de Tours en 1528/29, contrôleur des finances de Louise de Savoie (1476/1531), mère de François 1er, également propriétaire d’Armançay au Louroux et de Saint-Bauld. La fille de ce dernier Jeanne de Vercle, qui possédait aussi le moulin Goubert (voir ci-après) est citée comme dame de Noizay en 1567.

Auparavant, le seigneur de Noizay était Pierre d’Érian (1512/1550), propriétaire de La Rochère (voir ci-après), dont la fille, Françoise d’Érian épousa d’abord Claude I de Marolles (mort en 1569) puis Nicolas I Papillon, cité comme seigneur en 1577 (voir aussi La Source à Nazelles-Négron). Claude I de Marolles fut le père de Claude II de Marolles (mort en 1633), cité comme seigneur en 1594, lui-même père de l’érudit Michel de Marolles (1600/1681), abbé notamment de l’abbaye Saint-Sauveur de Villeloin (Villeloin-Coulangé) ainsi que de Louis de Marolles (mort en 1651), cité comme seigneur en 1633.

Le dernier seigneur de Noizay fut, en 1789, Léonard Le Febvre de La Falluère.

Histoire moderne et contemporaine :

La Cisse alimentait 3 moulins, qui fonctionnaient encore au 19ème siècle ; on trouve d’est en ouest :

  • Le Moulin Goubert, cité en 1206 sous la forme Molendinus de Goubec et sous le nom de Moulin de Gouberte sur la carte de Cassini*, est situé sous le manoir d’Anzan (voir ci-après), rue du Moulin Goubert.
  • Le Moulin du Chêne (voir ci-après).
  • Le Moulin Traineau, aujourd’hui Moulin Tresneau (563 route de Vernou), cité en 1335 sous la forme Molin de Tryneau, était le moulin banal de la seigneurie de Noizay ; aujourd’hui gite de groupe, voir https://le-moulin-tresneau.fr/

Suite au décès du maire et conseiller général Octave Pardou, en 1941, le conseil municipal est dissous ; une délégation spéciale alors mise en place restera en charge jusqu’à la Libération.

À voir dans le bourg

Église Saint-Prix (7 rue Victor Hugo) :

Cette église, construite au 11ème (nef et porche) et au 12ème siècle (chapelle latérale nord) a été agrandie au 15ème (chœur, abside, chapelle latérale sud) et au 19ème (collatéraux du chœur et clocher). Les stalles, du 15ème siècle, avec leurs miséricordes finement sculptées, proviennent de l’abbaye de Fontaine-les-Blanches à Autrèche et les orgues, du 18ème, de l’église Notre-Dame La Riche de Tours.

On peut voir à l’intérieur : des vitraux du 15ème dans les chapelles latérales, une piéta du 15ème également, restaurée par Hortense Jouanjus (voir www.hortensejouenjus.com) ainsi que plusieurs tableaux du 17ème, notamment :

  • La Vierge, l’enfant Jésus, Sainte-Élisabeth et Saint-Jean-Baptiste, d’après Raphaël (1483/1520).
  • Saint-Pierre dans la prison Mamertine, d’après Giovanni Francesco Guerrieri (1589/1657).
  • Jésus en croix (peinture sur cuivre).

Le château (124 promenade de Waulsort) :

Article https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00097894

« Construit au début du 16e siècle sur un emplacement féodal, le château servit d'arsenal et de dépôt d'armes à Castelnau [Charles de Castelnau-Tursan (1500/1560], l'un des principaux meneurs de la Conjuration d'Amboise [dirigée par Jean Du Barry, dit La Renaudie (mort en 1560)]. Le duc de Nemours [Jacques de Savoie-Nemours (1531/1585)] ayant découvert le complot s'introduisit dans le château avec une compagnie d'arquebusiers et s'empara de Castelnau. Incendié, le château fut reconstruit au 17e siècle [par Jeanne de Vercle (voir Histoire du fief)]. Un long bâtiment est prolongé au nord de deux ailes en retour. Les combles s'éclairent par d'importantes lucarnes pour la plupart à Gâbles Renaissance encadrés de pinacles. La partie centrale de la façade arrière au sud, est beaucoup plus composite. Elle peut avoir été achevée sous la Restauration avec son grand perron à double révolution. A l'intérieur, vaste escalier de bois du 17e siècle avec deux volées droites et une grosse rampe à balustres carrés. »

Château-Hôtel : voir https://www.chateaudenoizay.com/fr/domaine-chateau-noizay.html

À voir au nord

Le Bois-Dion (rue du 11 novembre) : cette propriété est citée en 1335, sous le nom de Bois Guion, comme appartenant à Pierre de Vernou (voir Histoire du fief). Les bâtiments actuels datent des 17ème et 18ème siècle ; vaste grange à l’est avec cloison en colombage.

Dans la rue d’Ouches, qui monte vers le nord, à l’est du bourg, on peut voir :

  • Une maison à colombages du 16ème siècle.
  • Le logis des Barres, entouré de douves, encore signalées en 1859 ; grange à auvent du 16ème; logis principal du 17ème. La grange a été rénovée et sert de lieu de réception : voir http://www.grangedesbarres.fr/
  • Les vestiges de l’ancien château d’Ouches (mur d’enceinte et tourelle d’angle, du 16ème; cuisine du 17ème; dépendance troglodytique).

À voir à l’est

Monaville (voir Préhistoire et antiquité) :

Ce domaine appartenait, en 1626, à Claude Mayet, dit Mahiet, chef de fourrière de la maison du roi et, en 1752, à Charles Billault, officier du château d'Amboise. La fourrière de la maison du roi fournissait le bois pour le roi, qui, en 1626, était Louis XIII.

Le château, construit au 16ème siècle dans le style du château de Noizay, fut modifié et agrandi en 1914.

Manoir de La Roche-de-Cestre (53 chemin Francis Poulenc) : le logis actuel, comprend un corps de logis du 18ème siècle, flanqué en 1875 de deux pavillons ; caves troglodytiques du 16ème siècle.

Manoir du Grand-Coteau (269 chemin Francis Poulenc) Maison de Francis Poulenc

Le fief du Coteau, relevant en partie d'Anzan (voir ci-après), appartenait, en 1671, à Jean Cormier, fourrier ordinaire du roi, officier chargé d’assurer vivres et logement de la Cour en déplacement.

Article https://legrandcoteau.com/

« Francis Poulenc est un compositeur et remarquable pianiste de la première moitié du XXe siècle. Il est né en 1899 et meurt en 1963 à l’âge de 64 ans. Il acheta la maison en 1927 pour disposer d’un lieu de travail calme et recevoir ses contemporains tels Colette [1873/1954], mais aussi Jean Cocteau [1889/1963] ou encore Picasso [1881/1973] qui séjourna au Grand Coteau. Il est connu pour avoir mis en musique les poèmes de ses contemporains comme Guillaume Apollinaire [1880/1918] ou encore Jean Cocteau.

Loin du tumulte et des distractions de la capitale, il cherchait un havre de paix où créer un « atelier » pour composer. Son dévolu se jeta sur le Grand Coteau, grande maison au cœur du vignoble de Vouvray, édifiée au XVIe siècle et surplombant la vallée de la Loire. Passionné de fleurs et jardins, il dessina lui-même les siens à la française, en terrasses. Ils sont entretenus à l’identique. »

Article https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00097895

« Maison du 16e siècle, acquise par Francis Poulenc en 1927 pour disposer d'un lieu de travail au calme et recevoir ses contemporains. La demeure rectangulaire domine la vallée. Les percements ont été revus aux 18e et 19e siècles. Du côté arrière, en fond de cour, se trouve une petite aile en retour, ancienne, précédée d'un rajout moderne. Au rez-de-chaussée se trouve le salon de musique avec les deux pianos utilisés par le compositeur pour travailler. Au premier se trouvent les chambres, dont celle où Poulenc est décédé. [Selon wikipedia, Francis Poulenc est décédé à son domicile parisien, 5 rue de Médicis.] »

Article https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Grand_Coteau

« Cette maison fut édifiée au début du xvie siècle. Elle est l'objet d'une histoire architecturale qui témoigne de son passé substantiel, passant par les conjurés d'Amboise jusqu'à son récent et fameux habitant, le compositeur Francis Poulenc.

En 1530 la maison appartenait à Jean Brette, chanoine et trésorier de la cathédrale de Tours [mais selon les archives, ce Jean Brette mourut en 1492 !]. Cette maison des chanoines sert à la confection de vin dans les grandes caves percées à travers le coteau.

Une histoire de la région raconte qu'en 1560 lors de la Conjuration d'Amboise, les chanoines de « la maison forte de Noizay » auraient accueilli des conjurés et les auraient cachés dans les caves afin de les protéger de la répression des troupes royales.

Le « Manoir » des chanoines se composait jusqu'en 1757 de trois chambres, dont deux basses où l'on retrouve de larges cheminées de pierre mais aussi poutres maîtresses reposant sur des corbeaux de pierre. Et une chambre haute, avec un grenier à côté.

Il y a aussi une cuisine dans le Roc, des écuries, des puits, des caves, le pressoir des chanoines, et deux cours fermées.

Ce logis est agrandi à la fin du xviiie siècle vers l'ouest avec une chambre basse et une chambre haute, c'est à cette période que la façade est uniformisée par des percements symétriques.

Achetée en 1927 par Francis Poulenc pour disposer d'un lieu de travail calme et recevoir ses contemporains tels que Colette, Jean Cocteau, Paul Eluard [1895/1952], Picasso et bien d'autres, cette maison au cœur du vignoble sera la demeure de Francis Poulenc jusqu'à sa mort en 1963.

Le salon de musique de Francis Poulenc se trouve aujourd'hui intact. De plus, les jardins à la française préservés ont été dessinés par Francis Poulenc. »

Le Petit Coteau (à côté du Grand-Coteau) : cet ancien manoir a gardé un portail double, du 16ème siècle, dont la porte charretière est surmontée d’une niche, qui contenait une statue de la Vierge.

Ce portail ouvre aujourd’hui sur une maison vigneronne, sans doute du 19ème siècle, qui peut être louée. Voir https://www.oogolo.fr/locations-entre-particuliers/?lieu=Noizay&pays=FR.

Anzan : ce fief appartenait, en 1523, à François de Mons, en 1537, à Claude de la Ferté, en 1550, à Jean de Faure, en 1639, à François Challineau, conseiller du roi au Châtelet de Paris, en 1741, à Augustin Le Large d'Ervau (1683/1750), capitaine de vaisseau, seigneur du Sentier à Mosnes, qui avait épousé Madeleine de Pedandreff (née en 1719), citée comme propriétaire d’Anzan en 1751 et, en 1755, à Charles Claude Augustin Le Large d'Ervau, fils d’Augustin ?

Les deux derniers propriétaires furent Valentin Loiseau (1727/1788), lieutenant général de la police de Tours, également seigneur de Montfort à Chançay et des Bidaudières à Vouvray, puis son fils, Valentin Marie Loiseau (1769/1827).

Article https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00097896

« Le logis est un grand bâtiment du 16e siècle, rectangulaire, surmonté de hauts combles à pignons. Il était entouré de quatre tours rondes d'angle, dont il n'en subsiste qu'une, abritant un escalier en bois en colimaçon. Ce corps principal a été prolongé de chaque côté, à la fin du 18e siècle ou au début du 19e siècle, par deux pavillons. La façade la plus ancienne est celle sur cour. L'autre façade a dû être remaniée au 18e. Un vaste escalier central a également été créé au début du 18e siècle. Le portail d'entrée date du 14e siècle. »

La Bretonnière : ce fief, qui relevait d'Anzan, appartenait, en 1568, à Méry Lopin (voir Neuillé-le-Lierre), qui, cette année-là, le vendit à Laurent II le Blanc (mort en 1583), seigneur de La Vallière (voir Chaveignes, Neuillé-le-Lierre, Neuillé-Pont-Pierre et Reugny). En 1625, le propriétaire était René Jussay.

Le logis actuel a été édifié en 1848 en style néo-gothique.

À voir à l’ouest

Venise : la closerie de Venise est une construction du 17ème siècle, qui produit un vin de l’appellation Vouvray ; un bâtiment indépendant a été aménagé en maison d’hôtes. Voir https://www.abritel.fr/location-vacances/p665011.

Rocfort : logis du 18ème siècle, dont le toit est surmonté d’un fronton triangulaire percé d’un oculus.

La Rochère :

Le premier seigneur connu de ce fief fut, en 1335, il appartenait à Jean de Chaumont, dont la fille, Philippe de Chaumont épousa Guyomard de Villeblanche (mort après 1398), cité en 1389, père de Robert de Villeblanche (mort en 1405), également seigneur d’Orfeuille à Reugny, lui-même père de Jean de Villeblanche, cité en 1449 et de Jeanne de Villeblanche (morte en 1473), qui épousa Alix d’Érian (mort entre 1450 et 1461).

Ces derniers furent les parents de Charles d’Érian, qui épousa d’abord, en 1458 Philiberte Du Pont (morte en 1485), fille de Guillaume Du Pont, propriétaire de La Guêpiere à Négron (commune actuelle de Nazelles-Négron), inhumée dans l’église de Noizay, puis, après la mort de celle, en 1486, Antoinette Richard, qui fut la mère de Thomas d’Érian, né en 1487, lui-même père de Pierre d’Érian (1512/1550), seigneur du fief de Noizay.

À partir de cette époque, l’histoire de La Rochère se confond avec celle de ce fief, jusqu’en 1738, date à laquelle, le fief de La Rochère était en possession de la famille de Cop. En 1765, Jean de Cop (1700/1780), maire de Tours de 1765 à 1768, était seigneur de La Rochère.

Le logis, semi-troglodytique date du 15ème siècle et possède un pigeonnier de la fin du 15ème avec plus de 500 boulins*. ; cadran solaire daté de 1651 avec l’inscription Sapiens dominabitur astris (le sage se guidera sur les astres).

Le lavoir avec cheminée du Pont de la Rochère, sur la Cisse existe toujous ; il a été construit en 1894 « pour améliorer les conditions de travail des laveuses », alors qu’il y en avait déjà 2 autres sur la Cisse également, construits en 1886, qui ont disparu : celui du Pont d’Anzan (à l’est du bourg), en 1968 et celui du Gué aux chevaux (rue Jacquelin, à l’ouest du bourg), en 1980.

Le Haut-Fourneau : une closerie est signalée en 1772 « joignant du couchant à la rue de la Rochère ».

Le logis, du 16ème siècle, a été augmenté en 1651 d’une cage d’escalier, dont la partie haute est en colombage ; le rez-de-chaussée a conservé une cloison à colombage et un escalier du 17ème.

À voir au sud-est (entre la Cisse et la Loire)

La Joncheraie : le pigeonnier à colombage du 16ème siècle n’avait pas de boulins mais des nids en osier posés sur des colombages. Le logis actuel a été reconstruit vers 1890.

Chambres d’hôtes : voir https://fr-fr.facebook.com/LaJoncheraie/

Mauland : grange du 17ème siècle.

Le Chêne : le logis actuel, du 18ème siècle, encore entouré de douves en 1802, a conservé une ancienne tour carrée de défense, avec des meurtrières, qui a été transformée en pigeonnier.

Villetissard : ce fief appartenait, en 1523, à François Tissart (mort en 1527), également propriétaire de La Guêpière à Négron (commune actuelle de Nazelles-Négron), en 1623, à Charles de Brussy, conseiller du roi, en l’Élection* d'Amboise, en 1638, à Honoré de Brussy.

Le manoir, du 16ème siècle a été doublé au 17ème et agrandi en 1871 ; il possède, au sud-ouest, une tour de défense mi-rectangulaire et mi-cylindrique.

À voir au sud-ouest

La Grande-Métairie : le logis, du 18ème, a conservé une grange du 17ème.

 


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